Avoir un garçon
Quand dès la 12ème semaine, j'ai du dire adieu au liberty, au rose dragée, aux culottes courtes, aux manches bouffantes, aux mini queue de cheval, et aux poupées, moi qui me voyais déjà avec une fille, j'ai commencé à réfléchir.
A changer ma projection, si bête.
J'en ai faite une autre. Toute aussi bête, et pleine de clichés. Mais je m'en suis faite une quand même, pour un petit garçon. Mon petit garçon.
D'abord je me suis dit qu'il y a toujours le bleu pastel, qui n'a rien a envier au rose.
Et puis les toutes petites baskets, trop stylées.
J'ai imaginé un petit mec, cheveux en batailles.
Les voitures téléguidées. Meilleur jouet au monde.
Pas d'embrouilles avec les pestes de l'école.
La relation mère-fils.
Avoir une version miniature de l'homme de ma vie.
Bon. Finalement, je me suis plutôt bien vue avec un bébé garçon.
A changer ma projection, si bête.
J'en ai faite une autre. Toute aussi bête, et pleine de clichés. Mais je m'en suis faite une quand même, pour un petit garçon. Mon petit garçon.
D'abord je me suis dit qu'il y a toujours le bleu pastel, qui n'a rien a envier au rose.
Et puis les toutes petites baskets, trop stylées.
J'ai imaginé un petit mec, cheveux en batailles.
Les voitures téléguidées. Meilleur jouet au monde.
Pas d'embrouilles avec les pestes de l'école.
La relation mère-fils.
Avoir une version miniature de l'homme de ma vie.
Bon. Finalement, je me suis plutôt bien vue avec un bébé garçon.
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